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La recherche qualitative, qui met l'accent sur l'exploration, la compréhension, la contextualisation, l'introspection et la construction de théories, fournit une base solide pour des mesures quantitatives, une mise à l'échelle et une généralisation plus larges. La recherche quantitative, qui met l'accent sur de grands échantillons, peut fournir une vue d'ensemble d'un domaine pouvant révéler des tendances, des incohérences, etc., pouvant être analysée plus avant à l'aide de méthodes qualitatives. Approche qualitative ou quantitative ? Le choix dépend du type de données nécessaire pour un problème de recherche particulier. La principale différence entre recherche qualitative et quantitative n’est pas la «qualité», mais la procédure. Il est tout à fait possible de quantifier des données qualitatives ou d’exercer une analyse qualitative des données quantifiées. Les méthodes qualitatives et quantitatives ne s'excluent pas mutuellement.
Il faut avoir bien conscience que le but d’une recherche qualitative est le plus souvent de découvrir des idées, de développer une compréhension détaillée et approfondie d'un phénomène, d’acquérir une compréhension qualitative des raisons et motivations sous-jacentes, de poser un large éventail de questions, de développer une compréhension initiale du paradigme qualitatif du champ étudié. L’approche qualitative met l’accent sur la compréhension, se concentrant sur la compréhension du point de vue du répondant, et ouvre la voie à des généralisations par comparaison de propriétés et de contextes individuels.
Le Big Data se situe clairement dans le domaine des approches quantitatives, mais pour certains il ne se compose pas que de données, mais aussi de traces, c’est-à-dire d’éléments quantitatifs dont la pertinence n’est pas totalement assurée et dont il faut se méfier. Par exemple, une transaction effectuée sur internet est clairement une donnée, mais une page vue, les traces d’un parcours sur le web ne seraient que des éléments, dont les significations ne seraient pas certaines. Dans un contexte de numérisation de la société, une avalanche de traces est produite, qui autorise la multiplication « d’approches corrélationnistes radicales» qui oublient fréquemment que corrélation n’est pas causalité.
Dans le monde du Big Data d’aujourd’hui, les approches qualitatives restent indispensables pour traiter des problèmes humains qui ont pratiquement toujours des dimensions relatives difficiles à appréhender quantitativement. Par exemple, on a, depuis de nombreuses années, identifié statistiquement en France des travailleurs pauvres, mais par un défaut d’analyse qualitative et d’attention à cette notion de pauvreté qui est relative dans notre société d’hyperconsommation, on n’a pas vu venir le mouvement des gilets jaunes aux fins de mois difficiles.
Pour aller plus loin sur la notion de trace, vous pouvez utilement consulter l’article suivant : Les sciences sociales face aux traces du big data
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Comment fonctionne le programme EYE ?
« Erasmus pour jeunes entrepreneurs » est un programme d'échanges transfrontaliers qui donne aux nouveaux ou futurs entrepreneurs la possibilité d'apprendre des entrepreneurs expérimentés qui dirigent de petites entreprises dans d'autres pays participants.
L'échange d'expériences a lieu lors d'un séjour chez un entrepreneur expérimenté, ce qui aide le nouvel entrepreneur à acquérir les compétences nécessaires pour gérer une petite entreprise.
L'hôte profite de nouvelles perspectives sur son entreprise et a la possibilité de coopérer avec des partenaires étrangers ou de découvrir de nouveaux marchés.
Erasmus pour jeunes entrepreneurs aide les futurs entrepreneurs européens à acquérir les compétences nécessaires pour lancer et / ou gérer avec succès une petite entreprise en Europe. Les nouveaux entrepreneurs rassemblent et échangent des connaissances et des idées commerciales avec un entrepreneur expérimenté, avec lequel ils restent et collaborent pendant une période de 1 à 6 mois.
Le séjour est en partie financé par la Commission européenne.
Pour en savoir plus : consultez le guide joint.
Contact :
Julie Giordano – Tel. 04 93 13 74 61 Julie.giordano@cote-azur.cci.fr
Erasmus pour jeunes entrepreneurs
En quoi consiste le programme Erasmus pour les jeunes entrepreneurs
Erasmus pour Jeunes Entrepreneurs — Wikipédia
Le Programme Erasmus pour jeunes entrepreneurs
Erasmus pour jeunes entrepreneurs - Mobilité, Erasmus - Toute l'Europe
Erasmus pour entrepreneurs : six mois quelque part en Europe..., La ...
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Erasmus pour les jeunes entrepreneurs - europa.eu
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Erasmus pour jeunes entrepreneurs | 1819.be
Erasmus pour jeunes entrepreneurs - CBE Sud Luberon - Pertuis
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Scénario: le maître du jardin
Sylvie Roussel-Gaucherand nous présente un conte d’Arménie qui montre combien il est difficile de créer de l’abondance (le nombre d’années à vivre) à partir de la rareté (la rose) sans être prévoyant.
Il était un roi d’Arménie. Dans son jardin de fleurs et d’arbres rares poussaient un rosier chétif et pourtant précieux entre tous.
Le nom de ce rosier était Anahakan. Jamais, de mémoire de roi, il n’avait pu fleurir. Mais s’il était choyé plus qu’une femme aimée, c’était qu’on espérait une rose de lui, l’Unique dont parlaient les vieux livres.
Il était dit ceci : « Sur le rosier Anahakan, un jour viendra la rose généreuse, celle qui donnera au maître du jardin l’éternelle jeunesse. »
Tous les matins, le roi venait donc se courber dévotement devant lui. Il chaussait ses lorgnons, examinait ses branches, cherchait un espoir de bourgeon parmi ses feuilles, n’en trouvait pas le moindre, se redressait enfin, la mine terrible, prenait au col son jardinier et lui disait :
« Sais-tu ce qui t’attend, mauvais bougre, si ce rosier s’obstine à demeurer stérile ? La prison ! L’oubliette profonde ! »
C’est ainsi que le roi, tous les printemps, changeait de jardinier. On menait au cachot celui qui n’avait pas pu faire fleurir la rose. Un autre venait, qui ne savait mieux faire, et finissait sa vie comme son malheureux confrère, entre quatre murs noirs.
Douze printemps passèrent et douze jardiniers... Le treizième était un fier jeune homme. Son nom était Samuel, et il affirmait vouloir tenter sa chance.
Le roi le toisa de sa superbe et lui dit :
« Ceux qui t’ont précédé étaient de grands experts, des savants d’âge mûr. Ils ont tous échoué. Et toi, blanc-bec, tu oses !
– Je sens que quelque chose, en moi, me fera réussir, dit Samuel.
– Quoi donc, jeune fou ?
– Je ne sais pas, exactement, je ne sais pas... C’est rare d’éprouver ce sentiment, et c’est passionnant de vouloir maîtriser l’imprévisible...
J’ai peut-être peur, seigneur, de mourir en prison ! »
Samuel par les allées du jardin magnifique s’en fut à son rosier. Il lui parla lentement à voix basse. Puis il bêcha la terre autour de son pied maigre, l’arrosa, demeura près de lui nuit et jour, à le garder du vent, à caresser ses feuilles. Il enfouit ses racines dans du terreau moelleux. Aux premières gelées, il l’habilla de paille. Il se mit à l’aimer. Sous la neige, il resta comme au chevet d’un enfant, à chanter des berceuses.
Le printemps vint. Samuel ne quitta plus des yeux son rosier droit et frêle, guettant ses moindres pousses, priant et respirant pour lui. Dans le jardin, partout les fleurs étaient en abondance, mais il ne les regardaient pas. Il ne voyait que la branche sans rose.
Au premier jour de mai, comme l’aube naissait : « Rosier, mon fils, où as-tu mal ? »
À peine avait-il prononcé ces mots qu’il vit sortir de ses racines, un ver noir, long et terreux. Il voulut le saisir. Un oiseau se posa sur sa main et, les ailes battantes, lui vola sa capture. À l’instant, un serpent surgit d’un buisson proche. Il avala le ver, avala l’oiseau. Puis, soudain, un aigle descendit du ciel, tua le serpent et s’envola. Et là, pour la première fois, un bourgeon apparut sur le rosier. Samuel
le contempla, il se pencha sur lui, il l’effleura d’un souffle et lentement la rose généreuse s’ouvrit.
« Merci, dit-il, merci. »
Il s’en fut au palais, en criant la nouvelle...
« Seigneur, dit Samuel au roi, la rose Anahakan s’est ouverte. Vous voilà immortel, ô maître du jardin. »
Le roi qui s’éveillait en grognant, bondit hors de ces couvertures, ouvrit les bras et rugit :
«Merveille! »
En chemise pieds nus, il sortit en courant pour contempler, admirer l’Unique rose, qui lui accorderait la jeunesse éternelle, fait rare pour un tout puissant. Puis, il ordonna :
« Qu’on poste cent gardes armées de pied en cap autour de ce rosier !
Je ne veux voir personne à dix lieues à la ronde. Samuel, jusqu’à ta mort, tu veilleras sur lui !
– Oui, jusqu’à ma mort, Seigneur », répondit Samuel.
Le roi dans son palais régna dix ans encore puis un soir il quitta ce monde.
« Le maître du jardin meurt comme tout le monde. Tout n’était donc que mensonge, soupira le roi...
– Non, dit le jardinier, à genoux près de lui. Le maître du jardin, ce ne fut jamais vous. La jeunesse éternelle est à celui qui veille, et j’ai veillé, Seigneur, et je veille toujours, de l’aube au crépuscule, et du crépuscule au jour.
Il lui ferma les yeux, baisa son front pâle, puis sortit voir les étoiles. Il salua chacune d’entre elles. Il s’amusa à dire bonsoir à chacune d’entre elles... Elles étaient très nombreuses à illuminer le ciel de la terre...
Mais Samuel avait le temps, désormais. Tout le temps !